Enfant d'automne

Qui ose voler les mots des autres ?!

Soit un chasseur de mot qui cherche partout : l’insolite comparaison, le simple et profond style, qui chasse le mot dans ses états de métamorphose – ou un jaloux qui ignore la valeur de l’écriture et la blessure qui cause en volant les mots des autres. Les deux sont tords .les deux sont le pire malheur pour l’existence du mot. Pourquoi ce plaidoyer ?

Café « Bourak », Kamra, Rabat, Maroc

Des rêves qui s'écoulent comme une rivière à travers les veines de  ma raison

16h55min
Je suis au café. Cette fois  ci, je ne suis pas seul.Trois choses m'accompagnent. Primo une personne, Nawfal, son nom signifie le nom d'une rose d'une bonne odeur. Un jeune marocain qui atteindra dans le 04/03/2006 17 ans. Il est encor  au seuil, il a le temps pour commencer son chemin, sa propre expérience. Il a aussi le temps pour avoir des rêves qui vont s'écouler comme une rivière à travers les veines de sa raison. S’il veut.......... !
La deuxième chose, qui vient de pendre sa place d'influence dans la création du plaisir de l’instant, est le soleil. Il fait beau temps selon mon goût. Non, selon le goût du JT de la météo. Quand le soleil s'émerge des nuages mélancoliques, mais avec un sourire latent sur les lèvres des rayons, c'est mon beau temps. Quand les rayons gris, si fatigués et sobres, dardent une terre du même nature, comme c'est le cas de l'extérieure de ce café, c'est mon beau temps. C'est un jeu de lumières et d'espace.  Cependant si on néglige la sensibilité qui déguste ce jeu, l'espace et la lumière deviennent inutiles. Leurs valeurs sont  dans le sens dégagé par l'être humain, mais quel être humain?! .Celui, l’amant de la sensibilité.
Peut-on dire que vivre tel instant est l’un des rêves qui s'écoulent comme une rivière à travers les veines de ma raison. Un tel instants se  compose de : une personne qui tu la trouve sympa ; l'autre l'inspiration peut être, un jeu de lumière et d'espace et un sens qui abrite les autres deux composantes ou plutôt l'art de créer le plaisir. Peut-on dire aussi que, si le plaisir n'existe plus, on doit le créer.

17h21 min
J'ai pris une pose café. C'était le temps pour laisser d'autres choses prennent leur place dans cette alchimie de la création du plaisir : un café ou chocolat que j'adore, fumer une cigarette, bouger les yeux, saluer des personnes et communiquer avec d'autres. Deux personnes viennent de rejoindre  la table, Saber et Amine.
Au cours de la conversation avec ces deux, la troisième choses ou l'autre rêve qui s'écoule comme une rivière à travers les veines de ma raison était omniprésent, dans les paroles, comme il  est dans nos paroles, et comme il  était, hier dans la discussion avec mon ‘’Grand Amour’’. Une idée que jamais, une personne  peut négligé en pétardant qu'elle n'a jamais osé d'en parler ou d'en penser. C'est le Rêve Américain, ‘’Américain Dream’’.

Je note qu'avant le rêve, l'Amérique existe-t-elle. Dans une autre manière, la création de l'empire américain c'est faite en parallèle avec celle de ce rêve. " Américain Dream ", avant qu'il soit un film, un regard esthétique à travers le cinéma il était une réalité, une logique d'existence d'eux. Les américains.
L’Amérique terres des étrangers de la différence, de la création, de "laisser passer, laisser travailler", du soit, de l'hégémonie qui peut être une mauvaise déviation du rêves; du pragmatisme. Simplement de rêve.
Pour ces raison, le rêve qui s'écoule comme une rivière à travers les veines de ma raison ni que rêver du rêve américain. Est ce que leur matraquage médiatique de l'idée de ce rêve m'influence ?est ce  que ‘’ TIME’’ que je lis m'influence ? Est ce que leurs écrivains, leur cinéma, nos paroles sur eux m'influencent ?
Peut être, maus qu'à importe! soit pour ces raisons qui sont hors moi ou pour celle dont j'en conscience, je rêve seulement. Et il ne sera que l'Amérique....!!!

uen photo , un acte                   

11h46min. Je suis au bureau. Le calme règne dans le lieu. Nous sommes quatres. Deux filles qui s’occupent comme des machines de traiter les articles, un correcteur, c’est un monsieur dans les cinquantaines, calme, sérieux, sage et modeste. Il s’assoit à côté du quatrième personne. c'est le  maquettiste. Je n'ai rien à faire que lire les journaux. J’étais à temps cette matinée. C’est la première fois. Certes si on veut, on peut. Les jours passés j’etais comme une tortue, le dernier qui arrive dans le matin. Kant au soir, je suis le premier qui quitte les lieux. Si commes, j’ai les bateaux qui vont se noyer (comme dit le proverbe marocain). Oui, c’est une grosse erreur dont je dois assumer les conséquences ; si je vais pleurer, c’est car j’ai hante de moi-même ; les portes sont ouvertes et moi j’attends comme un bébé pour qu’ils me mènent à l’Intérieure. C’est aberrant n’est ce pas ?!
J’ai peur d’une mauvaise appréciation. Si je l’aurai , je la mérite (j’ai mes raisons, mais elles restent personnelles, peut être que j’etais pas habitué  de travailler dans tel cadre et tel horaire). Cette semaine j’avais deux articles à rédiger. Un sur la rentrée politique , l’autre c’est une couverture d’une conférence de presse ( une petite pause de cinq minutes,. J’ai acheté deux cigarettes. Elle ne sont pas de la bonne marque . je vient de fumer une dans le balcon du siège. J’ai pris une bouteille d’eaux minérales plate ; le fameux Sidi)

Pour les deux articles, il est prévu que la couverture sera publiée demain, le premier est dans les frigos. Tant mieux. Je l’avais écrit à la hâte comme d’habitude. Le même défaut me suit : laisser les travaux d'aujourd'hui à demain. Pourquoi ? simplement c’est la paresse ou plutôt la dose de la confiance en soi que j’ai est exagéré. Je calcule mal .

Je me suis levé tôt. Je sais bien que les voyants rouges seront allumés . soit par ma mère ou le patron. J’ai pris mon petit déjeuné dans un café du quartier (café Monaco) ; le prix est raisonnable vu le menu ; avec dix DH tu as un jus d’orrange, une croissons au chocolat et une tasse de café (je prends souvent un noss noss au chocolat) j’ai pris ma cigarette de la matinée, celle-ci j’exige qu’elle sera de la bonne marque. J’ai feuilleté un journal en arabe. Je ne me souviens plus de l’évènement phare de la journée seul un article qui suscite mon intérêt. Le ministre d’Economie et des Finances a présenté sa feuille de route financière de l’année. Il ajuste son budget surtout avec le flambé du prix du pétrole. Il est dans le tunnel (et bien c’est son bolo).Après, j’ai pris un taxi (à 3,5 DH) qui mène à la station des taxis du centre ville . Dans cette dernière, il y avait une soixantaine de personnes qui attendent. Puisque j’etais pressé ou bien c’etait juste un sentiment j’ai décidé de faire une aventure financière. Prendre un petit taxi. Le coût du trajet etait juste 35Dh . et oui, c’est une petite somme pour un étudiant n’est ce pas ?

Après avoir passer mon article au correcteur (il a devant lui, 2 pages à corriger soit 652 mots, 3326 caractères, 9 paragraphes et 76 lignes) j’ai demandé un autre petit déjeuné à 10 DH. un coup ce fil gratuit puisque le journal qui paie, un garçon t ‘apporte un caf é et un croissant. Le service est bon, les assiettes sont bien propres et le prix est déjà pas mal. Si tu es sur place (café Chillout) tu paie le triple.

Après ses lignes, je suis toujours au bureau jusqu’à 18h30 . ouuuuuuuuf de 8h30 à 18h30. je reste au bureau entre midi. J’habite loin du travail (je fais seulement un stage).
Je sens que je vais m’adapter avec le rythme. J’espère qu’il n’y aura pas de sanction sur les jours precidants . J’ai peur

Bref voilà le bilan” financièr” de la matinée. Pour le moment je fais mes prévisions pour le soir. Sûrement je suis la démarche du ministre des Finances, j’ajuste mon budget sinon j’aurai « une crise cardiaque ». le déficit montra jusqu’à 95 %.

N.B : au moins dans ce journal, je profite d’avoir un esprit Eco. Comme il est magique ce verbe .compter

Si vous remarquez, le titre c’est l’identité de mon blog. Certes je n’ai pas de réponse mais

j’ai vécu de moment quand les hommes pleurent. Je vous partage la question, l’angoisse et

je vous invite si vous voulez (homme ou femme) de me partager par l’écriture ici ‘importe quel sentiment ou moment qui pouce l’homme viril, dure comme on le conçoit à pleurer. Vous auriez une série d’article sur mon expérience avec « cette phrase » plutôt condition de vivre. Avant de partir je pose une question pourquoi les hommes se cachent pour pleurer ?

Comme j’adore ces moments de vide. Je me suis réveillé tard à 16h30 min. en fait, le sommeil m’

a pris et j’ai absenté de mon stage. Est ce que le directeur sera fâché. Je ne sais pas. J’ai prés un

journal,

une magazine économique et j’ai traversé les rues de mon quartier. J’ai compté comme les mouches qui s’envolent, il y avait 13 mouches dans mon passage. J’ai entré à mon café, une fille charmante, petite de taille m’a accueillait avec un sourire splendide. J’ai pris des journaux étalés sur une table, bourré d’informations inutiles pour moi mais pour d’autre je ne sais …… !!

A un instant un sentiment m’a submergé, j’ai senti le vide devant moi, derrière moi, enfance moi, en moi. C’était un moment que j’ai attendu par patience. Le moment du vide on ne le cherche pas mais il vient. Oui, il vient seul, charment et angoissant. Il te met devant toi, devant ton monde et te

jette dans l’absurde que te réside. Les bavardes du café sont disparais, les tables, la chaîne arabe

misérable, la fille charmante, toutes ces choses , toutes ces personnes sont évaporées soudain. J’étais seul, sur ma chaise, ma magasine économique devant moi un stylo, un portable qui ne sonne pas, ma tasse de café et mon vide. J’étais comme un sage bouddhiste dans son karma. Je survole, je navigue les cieux de moi-même et je déguste cet instant qui ne m’arrive pas que rarement. Certes je souffre quand je le vie mais je sort fort et plein d’inspiration. J’étais pris par

mon vide soudain une voix douce m’a arraché « monsieur, tu dois me payer car je dois

partir, j’ai fini mon travail » .c’était la fille charmante. Elle a pris les 15 Dh  plus 3 Dh de pourboire

pour son sourire mirifique. Peut être cette fille qui m’a envoyé vers ce vide…….qui sait ?!

les tableaux c'est de Angelo Ermannao Senatore

POST-CONCEPTUEL-LE VIDE-LE

1) POST-CONCEPTUEL-LE VIDE-LE NEANT-LE CONCEPT...

technique mixte sur toile, cm.80x120,Paris 1997

2) PSYCO-PEINTURE-LE SIGNE,

LA MATIER

Huile sur toile, Paris 1998

trouvé dans ce site

J’étais surpris se soir. J’étais avec une personne que je la trouve intéressante, nous étions entrain

de se balader soudain elle a vu un accident. Elle m’a envoyé se message sur le champ.

« Je suis triste et du silence. Je suis désolé », j’ai pas répandu et puis elle a envoyé un autre sms «  tu vois la mort est prés de nous. Je l’attend toujours ».j’étais choqué par sa philosophie de la mort, de tristesse et cette longue attente et pénible de la mort. J’avais dans la tête la chanson de Jaque Brel quand on a que l’amour soudain les mots ont changé et si quand on que la mort. J’étais touché mais puisque je suis un amant de la vie, je dis à cette personne. on attendant la mort, il faut vivre et la chanson devient quand on a  que la vie .

Le tableau est de Paul Cézanne

tete-mort

Comme c’est beau l’amour …………… !

J’ai reçu un commentaire d’une fille, Insaf, je lui dis merci pour sa phrase qui m’a inspiré d’écrire ces mots. Certes l’amour est délice mais, c’est un délice mêlé avec la souffrance. Elle aussi est délicieuse.

« Aimer, ce n'est pas regardé l'un l'autre. Aimer, c’est regardé ensemble dans la même direction » c’est ma  définition  de l’amour

le tableau " amour maternel" est trouvé dans ce site

www.foutah.com/ sergeaubertmartial1.htm.

Je suis ivre ………………

C’est la phrase qui peut exprimé mes sentiments à cet instant. ivre de joie , ivre de souvenirs , ivre de caresses , ivre des effleurements ,ivres des câlins , ivre des mots ……….oh les mots , comme ils sont délices. Ils chavirent, ils chamboulent, ils creusent dans le corps et le cœur des fossés d’épanchement de plaisir capturé.

Salut

Je commence par quoi ou qui.Dans ces derniers jours , j’ai vu trop de personne et j’ai vécu pas mal de choses et j’ai vu pas mal de lieu et d’endroit dans notre pays ( le Maroc le plus beau pays du monde ).

C’était une aventure que je n’oublierai jamais. J’ai déjà visité pas mal de villes marocaines mais cette fois ci c’était avec un autre charme et goût. Il y avait de la bonne cuisine marocaine, de la culture, de l’histoire et de plus des caresses et des effleurements d’amour. J’ai donné à mon corps la liberté d’être, de s’errer dans les rues et les ruelles, de danser, chanter et être sauvage ou doux dans le lit. Vous aurez plus d’info et d’écriture sur ce voyage avec les photos que j’attends, et les instants les plus.

Vous entendrez inchella  via les mots les soupires de deux corps qui s’écrasent, deux bouches qui s’effleurent, et des mains qui se baladent dans les jardins secret du corps et plus. Les prochain articles vont porter des surprises , de l’audace et des confessions d’un corps et d’une âme. vous ecoutrez aussi les murmures de l'amour et les cries de plaisir sans oublié un resumé sur les lieux visité et les sentiments gravés dans le corps et l'ame aprés les balades nocturnes.